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Anper-TOS ne baisse pas les bras.
Soyons mobilisés!
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La crise que nous vivons invite de nouveau – et enfin ?- à appréhender différemment nos rapports avec la nature et ses ressources. L’anthropologue Jane Goodall lançait récemment un appel en ce sens, l’épidémie actuelle trouvant sa source au cœur même de l’exploitation démesurée d’animaux sauvage, tout comme bien d’autres auparavant
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En fragilisant les écosystèmes et en multipliant les échanges l’homme libère et propage des maladies qui n’auraient jamais dû connaître un tel développement.
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"L’homme ne va pas se créer sa propre maladie. Toutes les maladies infectieuses, virales proviennent des animaux", explique le virologue Eric Leroy sur France Info.
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Le confinement aura eu des effets que personne n’aurait imaginé : ici et là les animaux reprennent confiance, la pression sur les ressources s’atténue, la nature reprend quelques droits.
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Ainsi le gibier est revenu aux abords des villes, des rorquals ont approché les côtes près de Cassis. La fermeture de certains commerces a impacté de façon drastique l’exploitation des ressources, de façon directe ou non. La chute de la consommation de poisson a conduit directement à un effort de pêche réduit à portion congrue, et dans le même ordre d’idée la pêche de loisir se voit imposer de fait une politique de graciation qui sera certainement bénéfique.
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L’arrêt des transports mène actuellement à un effondrement des cours du pétrole et des émissions… Peut-être atteindra-t-on involontairement les objectifs de réduction d’émission de CO2 du protocole de Kyoto ? Météo France souligne en effet d’inquiétants nouveaux records trimestriels et saisonniers en matière de hausses de température
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Pourtant d’ores et déjà les vieux démons ressurgissent. D’aucuns appellent déjà à une reprise des affaires, comme si rien ne s’était passé.
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Le gouvernement français a bassement profité de la captivation exercée par le covid-19 pour autoriser les épandages de pesticides à moins de 3m des habitations. Quelques députés, qu’il faut saluer ici, lui ont demandé de revoir sa copie. Pour sa part ANPER-TOS a participé aux démarches collectives pour demander aux préfets de ne pas faire appliquer cette mesure.
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On retiendra également l’intervention ahurissante de Mme Lambert, présidente de la FNSEA, qui faisant remarqué que la pollution globale ayant baissé on pouvait dès lors imaginer que la pollution agricole pouvait être quantifiée à hauteur de 5% du total
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Outre que ce chiffre est complètement farfelu, il est aberrant de faire une confusion volontaire entre les différentes pollutions et surtout de s’affranchir de la toxicité des molécules répandues dans nos campagnes.
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Que nos agriculteurs aient un rôle évident puisqu’ils nous nourrissent ne saurait nous détourner notre regard des pratiques agro-industrielles dévastatrices qu’il faut repenser de toute urgence.
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Il est temps de réconcilier production et respect de l’environnement et de la santé en assurant des revenus décent à ceux qui produisent.
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Dans un tel contexte, il est bien entendu hors de question pour ANPER-TOS de baisser les bras.
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Nous sommes au contraire fier du travail accompli par notre nouvelle employée et qui va pouvoir de gagner en visibilité et en moyens pour influer en faveur de politiques environnementale ambitieuses, notamment en continuant à exercer les poursuites judiciaires et les recours qui s’imposent, pour faire progresser le respect de l’eau, des rivières, des zones humides.
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Bonne nouvelle ! Depuis peu, l’ANPER-TOS fait partie des 500 associations françaises agréées 1% for the planet !
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Ce collectif international rassemble entreprises, associations et individus afin de créer des relations entre ces acteurs et avancer dans le combat d’une planète plus saine...
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Un ravage pour les salmonidés
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La saprolégniose est une maladie fongique causée par le champignon aquatique Saprolegnia sp., un Oomycète, qui affecte les poissons sauvages et ceux provenant des piscicultures. L’apparition de touffes cotonneuses semblables à de la ouate de couleur blanche est souvent la première indication de l’infection...
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Chaque année on comptabilise 10 millions de tonnes de déchets déversées dans nos océans et 80% de ces déchets proviennent des terres , dont un gros pourcentage est acheminé progressivement par les rivières et les fleuves dans la mer. De plus en plus d’initiatives citoyennes et associatives s’emparent de ce problème et participent à la réduction de la production de déchets, au tri de ces derniers ou encore au nettoyage d’espaces naturels comme les plages.
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Anper-TOS a décidé de s’emparer à son tour du sujet
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N'attendez plus!
Venez nous rejoindre pour défendre nos cours d’eau et les milieux aquatiques .
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Nous avons besoin de vous
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